Méditons, Prions, quelles que soient notre Foi et nos croyances, pour tous ceux qui partent en ce moment vers les Etoiles du coronavirus sans leurs proches à leurs côtés, seuls comme des pestiférés, ou si peu entourés, pour raison d’hygiène sanitaire ! 

Manu DibangoQue ta musique Manu Dibango diffuse la lumière et la joie que tu as distribué sur Terre avec tous ceux qui passent vers d’autres mondes comme toi ….

Même si le passage se fera seul pour chacun, à un certain niveau, le départ terrestre mérite de se dire « Au Revoir ! » dans un contexte souvent réparateur. Regardons que si notre cœur est resté ouvert, dans le pardon, dans l’acceptation de notre situation planétaire du moment, nous pouvons accompagner à distance un proche dans son Passage ! Acceptons d’observer comment nous avons partagé nos vies avec eux et ce que nous avons appris mutuellement de l’aventure humaine ! 

Envoyons-leur du soutien pour traverser les portes du ciel que certains connaissent déjà en EMI… Même si nos croyances adhérent à d’autres formes de départ ou « d’autres mondes » ou le néant, adressons à tous ceux qui sont emportés, par ce virus,  une main invisible pour les guider vers un ailleurs…

Une photo, une lettre, un message raconté, une poésie lue à voix haute, une bougie allumée, une musique que la personne aurait aimé… Tout ce que votre cœur exprime, offrez-le à chaque instant que vous en sentez le besoin. Le deuil prendra le temps, avec une autre voie… 

Pendant que tant de soignants se mobilisent dans les hôpitaux pour accueillir et accompagner toutes les personnes touchées par le Coronavirus, applaudissons, encore et encore, au-delà des 20 h de nos rdv quotidiens, avec nos cœurs et nos pensées ! Soutenons-les pour qu’ils soient entourés aussi de soins et de  remerciements infinis, encore plus pour ceux qui rejoignent déjà ceux qu’ils ont suivis en soins et traitements, vers les Etoiles !!!

Leurs rythmes n’ont jamais été aussi forts qu’en temps de guerre,  avec des contraintes supplémentaires : pas ou si peu de protections individuelles et collectives,  la guerre du matin au soir, avec un ennemi présent partout, invisible, immédiat, évolutif, indescriptible ! 

Devoir choisir qui soigner devant la capacité à « guérir » ou l’incontournable décision médicale  du laisser  mourir, faute de moyens pour tous ? Comment gardent-ils le moral et la foi dans leur mission ?… alors que le Gouvernement pourrait ne pas reconnaître des cas de contagions en maladie professionnelle ??!!!

Gardons notre chaîne humaine de solidarité de cœurs et d’énergies pour que tous puissent y puiser ce qui leur sera bon pour chacun avec discernement et compassion !